Geography
Glossaries
Term | Definition | |
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Eaux internationales | ♦ Dans la législation maritime, le terme « eaux internationales » est le terme légal pour les eaux marines situées en dehors de toute juridiction nationale, signification étant identique dans le cas de bassins partagés. > Sept principes de base de gestion coopérative notés dans les traités internationaux sont relatifs à la gestion des ressources internationales :
> Les traités internationaux jouent un rôle important dans la gestion transfrontalière de l'eau car leur négociation permet aux États de trouver des compromis entre les différents intérêts et de codifier des règles claires, des principes et des procédures sur la façon avec laquelle l'eau et le développement des avantages liés à l'eau pourraient être partagés. Les traités internationaux n'empêchent pas cependant les éventuelles querelles liées au partage de l'eau mais ils sont absolument nécessaires pour améliorer la sécurité légale et réduire la probabilité des conflits pouvant émerger entre les États partageant la même ressource. > Les fleuves internationaux peuvent se référer à l'eau au sein du lit du fleuve ou à l'ensemble du système d'écoulement et/ou aux systèmes d'eaux souterraines. Le terme bassin fluvial international se réfère généralement aux flux de surface, à l'eau dans le sol, aux précipitations, et à l'humidité du sol au sein d'un bassin versant. > Les eaux internationales constituent une source de conflits actuels ou futurs dans bon nombre de régions du monde et, en réponse au risque de guerre entre différents pays devant partager cette ressource, a été adoptée en 1997 la convention des Nations unies sur les cours d'eau internationaux, qui définit les normes et les règles de base d'une coopération entre les États partageant des cours d'eau, en vue de leur utilisation, de leur gestion et de leur protection. |
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Eaux stratifiées | ♦ Masses d'eaux de température ou salinité différentes séparées par un gradient de température ou de salinité. |
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Eaux superficielles | ♦ Désigne, pour les mers et océans, la couche d'eau où vit la majorité du plancton, où arrivent les rayons solaires dans leur totalité, et où les échanges (physiques et chimiques) avec l'atmosphère et avec les couches plus profondes sont les plus intenses. Elles incluent également les fleuves, les lacs, les lacs de barrages, les estuaires, ainsi que les sources et les autres éléments qui sont directement influencés par les eaux de surface. |
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Eaux territoriales | ♦ Zone parallèle à la côte, de 12 milles nautiques de largeur (approximativement 22 kilomètres) qui est réputée faire partie du territoire national et dans laquelle l'État riverain exerce pleinement sa souveraineté. |
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Eaux transfrontières | ♦ Désignent toutes les eaux superficielles et souterraines qui marquent les frontières entre deux Etats ou plus, les traversent ou sont situées sur ces frontières ; dans le cas des eaux transfrontières qui se jettent dans la mer sans former d'estuaire, la limite de ces eaux est une ligne droite tracée à travers leur embouchure entre les points limites de la laisse de basse mer sur les rives. |
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Éboulis (ou clapier) | ♦ Accumulation de roches éboulées à la base de pentes montagneuses et formant des talus ou des nappes. |
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Échantillon | ♦ Sous-ensemble d'unités dans une population, et qui représente la population dans son ensemble. Si un échantillon est réellement représentatif, il doit pouvoir être défini au hasard, sans biais, à partir de la population. |
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Échelle | ♦ 1. Fréquence temporelle et spéciale d'un processus ou d'une structure. Au cours d'une période de temps déterminée, elle permet les relations ou les différences entre, par exemple, deux unités spatiales, continent/sous-continent... |
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Échelle cartographique | ♦ Rapport entre la dimension réelle et la représentation sur le papier d’une région (notée sur les cartes sous la forme d'un chiffre comme 1 / 25.000ème ou sous la forme d'un segment gradué. > Plusieurs échelles de réalisation de la cartographie pédologique existent :
♦ Équivalent étranger : Map scale. |
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Échelle d'exploitation | ♦ Échelle à laquelle on souhaite utiliser les données cartographiques. Elle correspond à la précision de la cartographie. Elle se présente généralement par une fourchette indiquant l'échelle maximale et minimale. |
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Échelle d’intensité d’un séisme | Caractérise les effets ressentis et observés lors d’un séisme en un point donné de la surface. L’échelle MKS (Medvedev-Sponheuer-Karnik), graduée de 1 à 12 permet de dresser la carte isoséiste délimitant les zones géographiques ayant ressenti la même intensité du séisme.
♦ Équivalent étranger : Quake intensity scale. |
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Échelle de Beaufort | ♦ Échelle anémométrique créée en 1806 par l'amiral anglais du même nom. Elle exprime la force du vent à une hauteur de 10 mètres au-dessus d'un terrain plat et découvert et possède son équivalent au niveau de la mer, quantifiée en degrés Beaufort sur une échelle comportant les 12 degrés suivants. ──────────────────────────────────────────────────── ♦ Équivalent étranger : Beaufort scale. |
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Échelle de présentation | ♦ Échelle associée à un document cartographique, correspondant à l'échelle où ces documents sont mis en valeur et publiés. Elle peut varier en fonction de la taille de la carte voulue mais doit être comprise entre les échelles minimale et maximale d'exploitation. |
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Échelle de Richter | ♦ Échelle ouverte de mesure de la magnitude d'un séisme graduée de 1 à 9, ce dernier échelon étant le plus dramatique.
♦ Équivalent étranger : Richter scale. |
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Échelle de saisie (ou de numérisation) | ♦ Échelle à laquelle les données sont numérisées sur un support cartographique. L'échelle de saisie est déduite de l'échelle à laquelle on souhaite utiliser les données (échelle d'exploitation). Généralement, cette échelle est plus grande que l'échelle d'exploitation pour ne pas perdre la précision obtenue et pour des raisons de confort lors de la saisie. |