Économie
Glossaires
Terme | Définition |
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EAA | ♦ Acronyme pour : "Export Administration Act". |
EAC | ♦ Acronyme pour : "East Africa Community". |
EAL | ♦ Acronyme pour : "Entreprise à administration en ligne". |
Écart | ♦ Se dit, dans divers contextes, d’une différence, d’un retard, d’un intervalle, etc. |
Écart d’inflation | ♦ Différence entre le taux de hausse des prix d’un pays et celui d’un de ses partenaires économiques, ou de l’ensemble, ou d’un sous-ensemble de ceux-ci. |
Écart de production | ♦ Différence de niveau entre la production effective et la production potentielle. |
Écart social | ♦ Écart entre le coût total du travail supporté par l’entreprise et le salaire net après cotisations sociales. |
ECCN | ♦ Acronyme pour : "Export Control Classification Number" |
Échanges dette contre nature | ♦ Consiste à acheter tout ou partie d'une dette extérieure d'un État ou d'une dette commerciale, de la convertir en monnaie locale, et d'utiliser les fonds ainsi générés pour le financement de la conservation. Le pays débiteur accepte généralement les échanges dette-nature puisqu'ils permettent d'alléger l'endettement du pays en transformant une dette de monnaie forte en monnaie locale. De plus, l'échange dette-nature se réalise à une valeur inférieure à la valeur nominale de la dette. En d'autres termes, le remboursement ne représente qu'une fraction de la dette initiale, selon les négociations entre les parties. Il existe certaines limites à ce mécanisme, les principales sont les suivantes :
♦ Équivalent étranger : Debt-for-nature. |
Échec du marché | ♦ Se produit lorsque les prix du marché ne sont pas équivalents au coût social acceptable de la ressource et que le marché est incapable d'évaluer la valeur réelle des services écosystémiques. Les effets extérieurs ou les externalités constituent les preuves de l'échec du marché. |
Échec politique | ♦ Situation dans laquelle les politiques gouvernementales créent des inefficacités dans l'usage des biens et des services. |
ECL | ♦ Acronyme pour : Entreprise à consommateur en ligne. |
Économie | ♦ Non-gaspillage d'une ressource donnée. Une activité est économique si le coût d'utilisation des ressources rares se rapproche du minimum requis pour atteindre les objectifs prévus. |
Économie bleue | ♦ Développement économique fondé sur la mer qui conduit à améliorer le bien-être et l'équité sociale, tout en réduisant considérablement les risques environnementaux et les impacts écologiques négatifs. Deux définitions sont données à cette notion : 2 - Tel que défini dans la Charte sur la sécurité et la sûreté maritimes et le développement en Afrique (Charte de Lomé), le terme économie bleue englobe les activités économiques des espaces marins et aquatiques dans les océans, les côtes, les mers, les fleuves, les lacs, les nappes phréatiques, les zones humides, les plaines inondables et les ressources en eau associées. Les gouvernements africains mettent de plus en plus en place une économie bleue ou océanique en tant que stratégie de développement économique visant à améliorer le bienêtre humain et l’équité sociale, tout en réduisant de manière significative les risques environnementaux et les pénuries écologiques. > L’Union africaine définit l’économie bleue ou océanique comme « le développement économique durable des océans comme un développement régional intégrant l’utilisation des mers et des océans, des côtes, des lacs, des fleuves et des eaux souterraines à des fins économiques, notamment entre autres, dans la pêche, les mines, l’énergie, l’aquaculture et le transport maritime, tout en protégeant la mer pour améliorer le bien-être social », soulignant ainsi les caractéristiques qui rendent une économie bleue ou océanique plus locale et plus résiliente, afin de réduire à la portion congrue la probabilité que des chocs à l’instar des perturbations économiques ou environnementales se transforment en crises régionales, voire mondiales, comme c’est le cas actuellement. Elle embrasse un éventail d’activités, directes ou dérivées, qui vont de la pêche à l’exploitation minière sous-marine en passant par l’aquaculture, le tourisme, les transports, la construction navale, l’énergie ou la bioprospection. > L'économie bleue a le potentiel d'améliorer le profil économique des nations grâce aux voies de l'innovation, de la durabilité et de l'exploitation des ressources vivantes et non vivantes inexploitées des océans, des mers, des baies et des estuaires. Les principaux secteurs de l'économie bleue comprennent la biodiversité marine, les ressources minérales des océans et des mers, les ressources naturelles renouvelables, le transport maritime, le tourisme côtier, lesmoyens de subsistance en mer, etc. L'un des principaux objectifs de l'économie bleue est de réduire l'empreinte carbone, qui est une assurance de pérenniser la biodiversité marine. > Le concept de l’économie bleue suppose que la bonne santé des eaux douces et des écosystèmes océaniques ouvre la voie à une économie basée sur l’eau et qu’elle garantit aux îles et aux pays côtiers comme aux pays enclavés le bénéfice de leurs ressources naturelles. Il requiert aussi une approche intégrée, holistique et participative incluant la dimension du progrès social dans l’utilisation et la gestion durables des ressources de l’économie bleue dans une Afrique plurielle. Le cadre de l’économie bleue est donc destiné à dépasser l’approche sectorielle classique pour privilégier une approche multisectorielle, intégrée et participative, à de multiples niveaux. > L'économie bleue s'appuie sur la gestion intégrée des zones côtières (GIZC). L’économie bleue promeut la conservation des écosystèmes aquatiques et marins, l’utilisation et la gestion durables des ressources qu’ils abritent, et elle se fonde sur les principes d’équité, de développement avec faible émission de carbone, d’efficacité énergétique et d’inclusion sociale. Le concept intègre les filières de l’économie bleue en incluant la dimension sociale de l’amorce d’une transformation structurelle de l’Afrique ; il prône le développement intégré, ainsi qu’une meilleure coopération et coordination régionales des politiques. En outre, l’économie bleue concerne par de multiples connexions la plupart des ODD. Les ressources aquatiques et marines jouent un rôle crucial dans un éventail de secteurs économiques qui procurent des revenus et des opportunités d’emploi pour mettre fin à la pauvreté (ODD 1). Quelques exemples de l’économie bleue Commerce et échanges • Transport maritime et services dérivés Valeurs culturelles • Pratiques culturelles et religieuses Savoir et information • Recherche biophysique, socio économique |
Économie caritative | ♦ Ensemble d’activités économiques ayant pour fin ou pour moyen l’action humanitaire ou charitable. |