Écologie

« Utiliser le bon mot, la bonne notion, le bon concept, avec la définition la plus couramment acceptée, ou mieux avec la définition la mieux acceptée et comprise relève parfois de l’exploit, … »
                                                     
 Patrick Triplet.

> Par cette citation, je souhaite rendre un vibrant hommage au travail de Titan réalisé sur plus de dix ans par ce biologiste, docteur en écologie dont l’ouvrage "Dictionnaire encyclopédique de la diversité biologique et de la conservation de la nature" constitue la source de très nombreuses définitions présentes dans ce glossaire. Utiliser un langage dont les mots recouvrent des concepts clairement définis permet à chacun d’aborder et de comprendre des domaines qui ne sont pas forcément de sa compétence.

> Ce glossaire qui regroupe plus de 6 000 définitions accompagnées de leur traduction anglaise est là pour vous y aider. Il couvre les domaines complémentaires que sont la Géographie, l’Écologie et l’Économie, sans oublier de faire un petit détour par la Finance qui régit dans l’ombre une bonne part de notre existence.

> Par lui-même, de définition en définition, ce glossaire vous invite à explorer l’univers riche de la conservation des milieux naturels, d’en comprendre les mécanismes et les enjeux.

À toutes et tous, nous souhaitons : “Excellente lecture et bon voyage”.

Écologie

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Glossaires

Terme Définition
Empiétement d’espèces ligneuses

♦ Envahissement d‟un sol par des arbres et des arbustes, conduisant à un changement de sa couverture.
♦ Équivalent étranger : Woody species infringement.

Empire biogéographique

♦ Unité biogéographique correspondant à une grande région, voire à un continent. Les variations des conditions écologiques à la surface du globe font qu’on peut distinguer cinq grandes zones ou empires floraux.
Ces empires floraux sont déterminés grâce à l’endémisme de certains ordres ou de certaines familles. À titre d’exemple, l’empire holarctique - dans lequel se situe la France - est caractérisé par la présence des Bétulacées, des Salicacées et des Renonculacées. Il est divisé en 11 régions.

> Des subdivisions successives permettent d’affiner la définition des empires :

  • La région, subdivision de l’empire, correspond à l’endémisme de familles ou de genres.
  • Le domaine, subdivision de la région, correspond à l’endémisme de genres.
  • Le secteur, subdivision du domaine, correspond à l’endémisme d’espèces.
  • Le district, subdivision du secteur, correspond à l’endémisme de sous-espèces.

♦ Équivalent étranger : Biogeographic empire.

Empirisme

♦ Position épistémologique affirmant que toute la connaissance ne provient que de l'expérience ou de l’observation. Attitude opposée au rationalisme. Les axiomes, les hypothèses et les principes généraux ne sont pas utiles pour la connaissance. La théorie s’établit à partir des faits expérimentaux par induction.
♦ Équivalent étranger : Empiricism.

Empreinte

♦ Phase de l‟apprentissage qui se produit pendant les premiers moments de vie d‟un animal et qui le conduit à adopter comme parent le premier animal ou la première personne qu‟il voit en naissant.
♦ Équivalent étranger : Print.

Empreinte carbone

♦ Synonyme : Besoin en espace CO2.
♦ L'expression « empreinte carbone » a été mise à la mode dans le débat sur le changement climatique. Permet d'évaluer les émissions de gaz à effet de serre (GES) engendrées par l'ensemble des processus physiques qui sont nécessaires à l'existence d'une activité ou d'une organisation humaine. Ces émissions, données en équivalent carbone ou équivalent dioxyde de carbone, peuvent être comptabilisées directement ou, le cas échéant, être estimées. Dans le cas d'une estimation, la quantité de gaz à effet de serre émise est obtenue en multipliant une donnée d'activité par un facteur d'émission. Le bilan doit tenir compte de l'énergie primaire et de l'énergie finale des produits et services. Le bilan carbone permet également d'étudier la vulnérabilité d ́une activité économique ou d'une collectivité et tout particulièrement sa dépendance aux énergies fossiles.

> Le bilan carbone se distingue de l'empreinte écologique par le fait qu'il ramène tous les processus physiques dont dépend une activité à des émissions exprimées en équivalent carbone ou en équivalent CO2, et non à des hectares comme l'empreinte écologique, ainsi que parce qu'il ne concerne que les gaz à effet de serre, c'est-à-dire l'impact sur le climat à l'exclusion d'autres impacts sur l'environnement pouvant être inclus dans l'empreinte écologique.

> En zones forestières, le bilan carbone est différent selon le type de forêts : primaire, exploitée ou régénérée : > Forêt primaire : Il est généralement reconnu que la quantité de carbone émise par la respiration des plantes et la décomposition de la matière organique est à peu près équivalente à celle que nécessite cet écosystème pour sa photosynthèse. Une forêt semi-décidue (en partie composée d'arbres à feuilles caduques) non perturbée est en situation d'équilibre quant à ses flux d'entrée et de sortie de carbone : elle n'est pas un puits de carbone mais elle en constitue un réservoir important, qui est évalué pour l'Afrique centrale, par exemple, à 275 tonnes de carbone par hectare (t C/ha).

  • Forêt exploitée : L'exploitation des ressources ligneuses d'une forêt auparavant primaire entraîne une dégradation de ce massif qui se secondarise. Les études menées dans le Sud-Cameroun indiquent, par exemple, que le stock de carbone dans ce type de forêt s'établit aux alentours de 228 t C/ha après exploitation.
  • Régénération du massif exploité : L'extraction des ressources ligneuses et l'ouverture des pistes pour y accéder ont perturbé l'écosystème, qui, après cette exploitation ou dans le cadre d'une exploitation durable, entre dans une phase de régénération pendant laquelle il va accroître sa biomasse et, de ce fait, capter du carbone. La croissance d'un écosystème peut être estimée à partir de sa production primaire nette, qui correspond à la quantité nette de carbone capturée par une plante grâce à la photosynthèse et représente l'accroissement de la biomasse. De même, le sol perturbé par l'exploitation forestière va progressivement récupérer la majeure partie de son stock de carbone. Au total, on peut grossièrement estimer qu'une forêt exploitée va regagner 2 t C/ha/an.

Pour calculer le stockage de carbone d'une aire protégée : http://www.cbd.int/lifeweb/carbon/

♦ Équivalent étranger : Carbone footprint.

Empreinte écologique

♦ L'empreinte écologique a été créée par William Rees (Rees, 1992 ; Ecological Economics, 2000, vol. 32) pour évaluer des politiques d'urbanisme.
Elle s'intéresse uniquement aux ressources naturelles renouvelables et donc à la biodiversité (sols, forêts, espèces vivantes...) et fait le rapport entre les flux de ressources utilisées par l'Homme et les capacités de renouvellement de celles-ci pour un mode de consommation et une technologie donnés. Le calcul n'est pas fait à partir des capacités de renouvellement des ressources d'un pays mais à partir d'une capacité mondiale nommée l'hectare bioproductif.
L'empreinte écologique représente la quantité biologiquement productive de surface de terre et de mer nécessaire pour suppléer les ressources consommées par une population et pour mitiger la perte qui y est associée. Elle est mesurée en hectares globaux. L'unité d'équivalence utilisée pour réaliser ce rapport est l'hectare d'écosystème consommé par un individu, une ville, une entreprise ou un pays. Elle est actuellement de 23 % plus élevée que ce que la planète peut régénérer (http://www.footprintnetwork.org/ ), ce qui veut dire que la planète nécessite un an et deux mois pour régénérer ce qui a été consommé en une année. L'humanité vit donc à crédit. L’empreinte de l’humanité est de 21,9 ha par personne alors que la capacité biologique de la Terre est, en moyenne, de 15,7 ha/personne.

> Il est possible de calculer cinq types d'empreintes écologiques :

  • L'empreinte terres cultivées qui représente les surfaces mises en exploitation pour produire les matières premières nécessaires à l'alimentation ou à la production industrielle.
  • L'empreinte terres pâturées qui permet de disposer de bétails pour la viande, le cuir, la laine, le lait... Pour être comptabilisé dans cette empreinte, le bétail doit occuper les terres de manière permanente et ne pas être nourri de manière industrielle.
  • L'empreinte forêts qui correspond aux exploitations forestières qui permettent de répondre aux besoins en bois et en produits non ligneux forestiers. Le bois énergie n'est pas pris en compte dans l'empreinte forêts.
  • L'empreinte zone de pêche qui correspond aux besoins en poissons et en fruits de mer d'une population. La diversité spécifique est prise en compte de manière à pondérer la biomasse halieutique.
  • L'empreinte énergie qui correspond à la superficie nécessaire pour répondre aux besoins en énergie. Cette empreinte se subdivise en quatre : l'énergie issue de combustibles fossiles, de la biomasse, des centrales nucléaires et des centrales hydrauliques.

Le concept de capacité de renouvellement pour l'empreinte écologique est proche du concept de capacité de charge et permet de savoir si l'Homme consomme plus que la nature ne peut produire et d'établir ainsi une dette ou un crédit en terme de consommation d'écosystèmes.

> L'empreinte d'un pays est la somme de toutes les terres cultivées, les pâturages, les forêts et les zones de pêche nécessaires pour produire la nourriture, les fibres, le bois et le bois de chauffage qu'il consomme, pour fournir l'espace pour les infrastructures, et pour absorber les déchets qu'il émet. Si l'empreinte écologique d'un pays dépasse sa biocapacité, il en accuse un déficit. Ces pays ne peuvent maintenir leur niveau de consommation que grâce à une combinaison de leurs propres ressources (récoltées plus rapidement que le taux de remplacement), de l'importation de ressources provenant d'autres pays, et de l'utilisation de l'atmosphère (par exemple, comme réceptacle des gaz à effet de serre).
L'empreinte d'un pays de production primaire est la somme des empreintes de toutes les ressources exploitées et de tous les déchets générés à l'intérieur des frontières géographiques du pays. Cela comprend toutes les régions d'un pays nécessaires pour soutenir la récolte réelle des produits primaires (terres cultivées, pâturages, terres forestières et zones de pêche), des infrastructures du pays et de l'hydroélectricité (terrains bâtis), et la surface nécessaire pour absorber les émissions de dioxyde de carbone générées par les combustibles fossiles dans le pays (empreinte carbone).
Un élément important dans le calcul de l'empreinte écologique, particulièrement pour les pays riches, est que la surface des terres couvertes de végétation nouvelle qui absorberait les émissions de dioxyde de carbone y est incluse, contrairement aux terres utilisées pour la production de nourriture ou de bois. Dans les calculs de l'empreinte écologique, les zones terrestres et aquatiques sont pondérées en fonction de leur productivité biologique, ce qui rend possible les comparaisons entre différents écosystèmes ayant des niveaux de productivité biologique différents et entre différentes régions du monde avec la même unité, l'hectare global.
L'empreinte écologique d'une population est généralement calculée à partir d'une perspective de consommation, c'est-à-dire qu'elle mesure la surface demandée par la consommation finale des résidents de ce pays.

> Les comparaisons globales montrent également clairement les inégalités d‘utilisation des ressources à l’échelle mondiale. 
L’empreinte écologique par habitant est un moyen de comparer la consommation et les styles de vie. Alors qu’un habitant moyen du Bangladesh ou du Népal consomme 0,5 hectare global (en 2006), un Chinois moyen utilise 1,8 hectare global et un Américain moyen, 9 hectares globaux.
L’empreinte écologique est maintenant largement utilisée partout dans le monde comme un indicateur de soutenabilité environnementale. L’empreinte écologique peut guider la politique en examinant la mesure dans laquelle un pays, une région ou une ville utilise plus (ou moins) que ce qui est disponible sur son territoire, ou si le style de vie du pays est reproductible dans le monde. Elle peut aussi constituer un instrument utile pour informer les personnes sur les notions de capacité de charge et de surconsommation, avec le but d’influencer les comportements individuels. L’empreinte écologique peut être utilisée pour examiner la soutenabilité des styles de vie individuels, des biens et des services, des organisations, des secteurs industriels, des villes, des régions et des pays.
Sur le site Internet de l‘ONG Footprint.org, il est possible d‘évaluer l'empreinte écologique d'un individu : https://www.footprintcalculator.org/home/fr

> L’empreinte écologique est un indicateur facile à communiquer et à comprendre, et qui inclut un message fort de conservation. L’indicateur est plus efficace, significatif et robuste à des niveaux agrégés (niveau national et au-delà) mais des questions ont été émises quant à son utilisation comme un indicateur de soutenabilité. De nombreuses critiques se rapportent au manque de considération portée aux aspects tels que la dégradation des sols, la perte de biodiversité, la toxicité pour les humains et les écosystèmes, etc. Des questions telles que la distinction entre l‘agriculture intensive et extensive, la multifonctionnalité des écosystèmes et la rareté des ressources ont également été posées. Un seul indicateur n‘est pas capable d’illustrer la complexité de ces impacts et de leurs interactions. De plus, deux questions importantes ne sont pas correctement abordées dans les calculs de l’empreinte écologique : la surface à allouer à la maintenance des espèces sauvages et l’expression du problème des émissions excessives de dioxyde de carbone en matière de surfaces hypothétiques nécessaires pour les absorber.

♦ Équivalent étranger : Ecological footprint.

Empreinte écologique de la consommation

♦  Le type d'empreinte écologique le plus fréquemment étudié est la mesure de la superficie nécessaire pour soutenir la consommation d'une population donnée.
L'empreinte écologique de la consommation (en global hectare [gha]) inclut les superficies nécessaires pour produire les matériaux consommés et absorber les déchets produits. L'empreinte écologique de la consommation d'un pays est calculée dans les National Footprint Accounts de la manière suivante :

EEc = EEp + EEi - EEe

   où       EEc    est l‟empreinte écologique de la production
               EEi     est empreinte écologique des importations
               EEe    est l‟empreinte écologique des exportations

Au sens strict, il s'agit de l'empreinte écologique de la consommation apparente. L'empreinte écologique moyenne, ou empreinte écologique de la consommation par habitant, est l'empreinte écologique de la consommation du pays divisée par sa population.

> La différence entre l‟empreinte de production et de consommation et le commerce, est illustrée par l‟équation suivante :

EEc = EEp + EEi - EEe

 où       EEc    est l‟empreinte écologique de la consommation
             EEp    est l‟empreinte écologique de la production
             EEi et EEe  sont les empreintes de flux de marchandises importées et exportées, respectivement.

♦ Équivalent étranger : Consumption footprint.

Empreinte écologique de la production primaire (= des besoins primaires)

♦ L'empreinte écologique de la production primaire d'un pays est la somme des empreintes écologiques de toutes les ressources récoltées, et de tous les déchets produits, dans le périmètre de la région géographique concernée. Cette empreinte écologique inclut :

  • Les espaces du pays permettant la récolte des produits primaires (champs cultivés, pâturages, forêts, espace pour la pêche); - L'espace bâti (routes, usines, villes) ;
  • L'espace CO2, qui représente l'espace nécessaire pour absorber les émissions de gaz à effet de serre (GES) résultant de la combustion de combustibles fossiles.

L'empreinte écologique des produits primaires et l'empreinte écologique de la production primaire sont des expressions propres à l'empreinte écologique. Elles ne doivent pas être confondues avec les concepts, en écologie, de production primaire, de production primaire brute et de production primaire nette.

♦ Équivalent étranger : Primaryproduction footprint.

Empreinte en eau

♦  Estimation du volume d'eau utilisé durant le cycle de vie d'un produit, depuis l'extraction des matières qui le composent jusqu'à son élimination. On peut aussi parler de l'empreinte en eau d'une personne, d'un service, d'une institution, d'une région ou d'un pays, qui est évaluée en déterminant la somme des empreintes en eau des produits qu'ils consomment pendant une période donnée. L'empreinte en eau d'un individu, d'une communauté ou d'une entreprise est définie par le volume total d'eau fraîche utilisée pour produire les biens et services consommés par cet individu, cette communauté ou produit par cette entreprise. Voici quelques exemples d'empreintes en eau :

  • La production d'un kilogramme de bœuf requiert 16.000 litres d'eau
  • La production d'une tasse de café nécessite 140 litres d'eau (source : www.waterfootprint.org)

Sur le site de l'ONG Waterfootprint.org, il est possible de calculer l'empreinte en eau d'un individu.

♦ Équivalent étranger : Water footprint.

Empreinte en eau des villes

♦ L‟empreinte en eau des villes reflète les modes de consommation, la prospérité économique, le climat et les demandes en ressources alimentaires. Les différences dans les valeurs des empreintes sont conditionnées par la quantité d‟eau totale consommée, généralement liée au revenu brut de la zone, l‟importance de la consommation d‟eau, la présence d‟extrêmes climatiques, particulièrement dans les régions de haute évaporation où les besoins en eau sont importants.
♦ Équivalent étranger : Water footprint of cities.

Empreinte énergie

♦ Somme de tous les espaces nécessaires pour fournir l'énergie consommée, à l'exclusion de celle incluse dans les produits alimentaires. C'est la somme des espaces CO2, de la superficie couverte par les barrages hydroélectriques, de la forêt fournissant du bois de chauffage, des champs cultivés pour produire des carburants d'origine agricole.
♦ Équivalent étranger : Energy footprint.

Empreinte humaine

Continuum de l’influence humaine sur l’ensemble de la surface terrestre. L’approche est spaciale est vise à identifier des zones qui sont plus ou moins marquées par les humains. Les pressions anthropogéniques cumulées sont une mesure de l’empreinte humaine.
♦ Équivalent étranger : Human footprint.

Empreinte plastique

♦ La notion d’empreinte plastique peut inclure trois dimensions, conduisant aux différentes métriques suivantes :

  1. la quantité de plastique utilisée dans un système (souvent considérée comme la source). L’empreinte plastique est alors exprimée en kg de plastiques par an.
  2. la quantité de plastiques émise dans l’environnement au cours de la production, du transport, de l’utilisation et de la fin de vie d’un produit en plastique (souvent considéré comme la perte de plastique). L’empreinte plastique représente un inventaire, en unité de masse, de plastique perdu dans l’environnement.
  3. L’impact, direct or indirect généré par les polluants émis (ou la fuite de plastique) sur la santé humaine ou sur l’environnement.

L’évaluation de l’impact est un élément des méthodologies les plus avancées de mesures de l’empreinte. Elle est généralement liée à trois stades : le devenir, l’exposition et l’évaluation des effets.

♦ Équivalent étranger : Plastic footprint.

En danger

♦ Espèce sauvage exposée à une disparition de la planète ou à une disparition imminente d'une partie de son aire de distribution.
♦ Équivalent étranger : Endangered.

ENABEL

♦ Nouvelle dénomination donnée en 2018 à la "Coopération Technique Belge" (CTB) qui s’inscrit dans le cadre plus large des Objectifs de développement durable adoptés en septembre 2015 par les Nations Unies, incluant l’agenda « au-delà de l’aide » (Beyond Aid) et les partenariats multi-acteurs.
♦ Équivalent étranger : ENABEL