> Le bassin du Congo renferme la deuxième plus grande forêt tropicale du monde, dont 314 millions d'hectares de forêt tropicale primaire particulièrement importante sur le plan écologique. En mai 2002, pour répondre à ce qui risquait de devenir un pillage généralisé, un moratoire sur les concessions d’exploitations forestières a été promulgué pour la première fois en RDC.
> À l'issue de la COP26 qui s'est tenue à Glasgow du 1er au 13 novembre 2021, nombreux sont les déçus par le manque de détermination dont ont fait preuve certains participants pour limiter le réchauffement climatique alors que tous les signaux d'alerte sont au rouge.
Mais à l'heure où le bassin d'Amazonie devient un émetteur net de CO2 et autres gaz à effet de serre, tous les yeux se tournent vers la forêt équatoriale africaine et en particulier, vers le bassin du Congo dont il faut absolument préserver l'avenir.
« Le Comité du patrimoine mondial, réuni en ligne depuis le 16 juillet, a décidé aujourd'hui de retirer le Parc national de la Salonga (République démocratique du Congo) de la Liste du patrimoine mondial en péril en raison des améliorations apportées à son état de conservation », voici l’annonce faite le 19 juillet 2021 par l’UNESCO.
> Alors qu’une semaine vient de s'écouler depuis la saisie d’une quantité importante d’or provenant de la carrière illégale de Muchacha par les Eco-gardes de la Réserve de la Faune à Okapi (RFO) , ce samedi 26 juin 2021 le Président Félix Tshisekedi de RDC et son homologue rwandais Paul Kagame viennent de signer à Goma plusieurs accords de coopération bilatérale visant à promouvoir et protéger les investissements entre les deux pays, éviter le problème de double imposition et d’évasion fiscale. Concernant plus particulièrement l’exploitation de l’or, un protocole d’accord a été établi entre la société congolaise SAKIMA et la société rwandaise Dither LTD de droit privé.
> Adossé à la Réserve de Biosphère de Yangambi (RdC - Province de la Tshopo), l’une des principales aires protégées menacées par l’anthropisation dans la région, l’Institut National d’Étude et de Recherche Agronomique (INERA), fleuron de la recherche agronomique dans les années 1950, retrouve peu à peu des couleurs.