Ecology
Glossaries
Term | Definition |
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Autres aires de conservation | ♦ Incluent les terres et les eaux qui, bien que ne faisant pas partie d'un réseau d'aires légalement désignées, peuvent également fournir des avantages écologiques significatifs. Ces aires, parfois également appelées aires de développement durable disposent d'incitations et d'autres mécanismes mis en place pour garantir qu'elles fournissent au moins quelques assurances pour une protection à long terme de la biodiversité. Dans de nombreux cas, elles peuvent maintenir la connectivité à l'échelle du paysage. |
Autres mesures de conservation efficaces par zone | ♦ Cette formulation a été créée en 2010, lors de la 10e réunion de la Conférence des Parties, qui s'est tenue dans le cadre de la Convention sur la diversité biologique (CDB). Toutes les parties ont convenu d'un objectif de conservation international, appelé l'objectif 11 d'Aichi, lequel stipule que 10 % des zones marines et côtières seront conservées d'ici 2020 au moyen de zones de protection et d'autres mesures de conservation efficaces par zone. > Cinq éléments sont à considérer pour définir ces zones. |
Avalaison | ♦ Phénomène par lequel les poissons diadromes descendent de leur cours d'eau vers la mer, soit pour y achever leur développement (espèces anadromes), soit pour aller s'y reproduire (espèces catadromes). |
Avantage d’une aire protégée | ♦ Tout aspect de l’aire protégée qui contribue au bien-être social, culturel ou écologique et fournit un avantage qui ne serait pas disponible autrement. Les ressources d’une aire protégée deviennent un avantage quand elles sont utilisées avec succès pour fournir de tels gains.
♦ Équivalent étranger : Benefit of a protected area. |
Averse | ♦ Précipitation, souvent forte et de courte durée, tombant de nuages convectifs. Les averses sont caractérisées par leur début et leur fin brusques, et par leurs variations généralement violentes et rapides d'intensité. Une averse torrentielle est une pluie de très forte intensité et de relativement courte durée. |
Aversion du goût | ♦ L'aversion gustative est le processus par lequel un animal doit apprendre rapidement à procéder à un choix comportemental qui peut mettre la vie de cet animal en danger. Manger un poison peut conduire à la formation d'une aversion spécifique pour ce type d'aliment fondé sur une seule expérience. Le processus de vomissement d'un aliment toxique coûte à un animal non seulement ce repas spécifique, mais d'autres produits alimentaires et souvent la capacité de manger pendant un certain temps. Pour les animaux qui ont des budgets énergétiques serrés, cette perte peut être vitale. Ainsi, la sélection a privilégié une voie pour apprendre rapidement à éviter les aliments qui entraînent des maladies et conserver ces informations comme fortes et durables. |
AWF | ♦ Acronyme pour :" Africain Wildlife Foundation". |
Axes de vie | ♦ Ensemble de cours d'eau ou secteurs fluviaux, en continuité hydraulique et biologique, offrant toutes latitudes de circulation aux espèces aquatiques pour y effectuer leur cycle vital : reproduction, dispersion des juvéniles, croissance et migrations saisonnières. |
AZE | ♦ Acronyme pour : "Alliance pour Zéro Extinction" |
Azoïque | |
Azonal | ♦ Se dit d'un sol dépourvu de profil défini dont les horizons sont donc absents, qui demeure en permanence à l'état non évolué pour diverses causes liées à la nature du substrat ou à des facteurs écologiques extrinsèques. |
Azote fixé | ♦ Forme d'azote disponible pour les organismes comme l'ammoniac, les nitrates ou l'azote organique. L'azote gazeux est une des composantes essentielles de l'atmosphère et est inerte pour la plupart des organismes. |
B-INTACT | ♦ MIs au point par l'équipe EX-ACT du FAO, B-INTACT est un outil d’évaluation et de calcul intégré de la biodiversité. > B-INTACT vise :
♦ Équivalent étranger : B-INTACT. |
Babésioses bovines | ♦ Maladies due à des protozoaires appartenant au genre Babesia conduisant à des états morbides et à une forte mortalité chez les animaux infectés. |
BACI | ♦ Acronyme anglosaxon pour : "Before, After, Control, Impact". ♦ Green (1979) fut le premier à recommander l’échantillonnage d’une zone impactée et d’une zone témoin, avant et après une perturbation, comme conception optimale pour l’évaluation des impacts sur l’environnement. Cette approche est fondée sur le principe suivant : si deux zones (contrôle et impact) sont surveillées avant une perturbation anthropique, l’emplacement de l’impact présentera après la perturbation un modèle différent de celui du lieu de contrôle. Cette approche permet donc de contrôler des impacts par comparaison avec l’état initial (Underwood, 1991). • Before-After : Ce modèle fournit des informations pour répondre à la question de l’étude par rapport à un facteur unique de la différence avant à après. Une des limites fondamentales de ce plan d’étude est qu’elle ne fournit pas d’informations par le biais d’un site de contrôle. • Control-Impact : Ce modèle fournit des informations pour répondre à la question de l’étude en relation avec un seul facteur de différence entre les zones de contrôles et des zones d’impact. Une des limites de ce plan d’étude est qu’elle ne fournit pas d’informations sur l’état de l’une ou l’autre des zones avant l’évènement et qu’elle suppose de savoir où se trouve exactement la zone d’impact. • Before-After-Contol-Impact (BACI) : Cette méthode permet de tester chacun des deux facteurs individuellement pris en compte dans les conceptions précédentes : différences entre avant et après, et entre contrôle et impact. Sa capacité à traiter les limites associées à chacune des deux modèles précédents, le rend considérablement plus robuste. Cependant, les analyses BACI ne sont pas en mesure de fournir des informations sur les effets qui se produisent à travers un gradient dans la zone d’étude. |