Écologie
Glossaires
Terme | Définition |
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CCARDESA | ♦ Acronyme pour : "Centre for Coordination of Agricultural Research and Development for Southern Africa". |
CCBA | ♦ Acronyme pour : "The Climate, Community and Biodiversity Alliance". |
CCBC | ♦ Acronyme pour : Commission Climat du Bassin du Congo ♦ La CCBC a été mise en place en octobre 2017, quelques jours avant la tenue de la COP 23, par la conférence Brazzaville Finance Climat 2017, conférence extraordinaire des ministres des pays de la Communauté économique des États de l’Afrique centrale (ECCAS) et ceux de la Communauté économique des États de l’Afrique de l’Est (CAE). > Elle a pour objet d’accélérer la mise en œuvre de la transition climatique et de la transformation économique du Bassin du Congo dans une logique de développement durable.
♦ Site internet : https://www.fondsbleu.africa/a-propos/la-commission-climat-du-bassin-du-congo/ |
CCNUCC | ♦ Acronyme pour : "Convention Cadre des Nations Unies sur le Changement Climatique" > La CCNUCC établit un cadre général pour relever le défi des changements climatiques au plan international. Elle déclare que son objectif ultime est de stabiliser les émissions atmosphériques de gaz à effet de serre à un niveau qui les empêchera de nuire au système climatique. En juin 2007, 191 pays l'ont ratifiée. Ces derniers sont désignés comme Parties à la Convention. Les Parties à la Convention ont accepté un certain nombre d'engagements pour répondre aux changements climatiques. Elles doivent rédiger et soumettre périodiquement des rapports spéciaux appelés communications nationales qui doivent contenir des informations sur les émissions de gaz à effet de serre de la Partie concernée et décrire les mesures prises et les plans adoptés pour appliquer la Convention. > La Convention exige de toutes les Parties qu'elles mettent en œuvre des programmes et mesures nationaux afin de contrôler les émissions de gaz à effet de serre et de s'adapter aux impacts des changements climatiques. Les Parties doivent également promouvoir le développement et l'utilisation de technologies non nuisibles pour le climat, la sensibilisation et l'éducation aux changements climatiques et à leurs impacts, et la gestion durable des forêts et autres écosystèmes qui peuvent capter les gaz à effet de serre dans l'atmosphère, ainsi qu'à coopérer avec d'autres Parties dans ces domaines. > Les pays industrialisés, cités à l'Annexe I de la Convention, ont pris des engagements supplémentaires. Ces parties ont initialement accepté d'entreprendre des politiques et mesures ayant pour objectif précis de revenir aux niveaux d'émissions de gaz à effet de serre de 1990. > Le Protocole de Kyoto (1997) a le même objectif final que la Convention, à savoir la stabilisation des concentrations atmosphériques des gaz à effet de serre à un niveau qui empêche de dangereuses interférences avec le système climatique. Pour atteindre cet objectif, le Protocole de Kyoto renforce et améliore de nombreux engagements déjà mis en place par la Convention. Seules les Parties à la Convention deviennent Parties au Protocole. ♦ Équivalent étranger : United Nations Framework Convention on Climate Change (UNFCCC). |
CContaminant, passager clandestin | |
CCUNCC | ♦ Acronyme pour : "Convention-cadre des Nations unies sur les changements climatiques". ♦ La CCNUCC est entrée en vigueur le 21 mars 1994. Aujourd'hui, l’adhésion à la Convention est quasi universelle. Les 197 pays qui l’ont ratifiée sont appelés Parties à la Convention. La CCNUCC est une « Convention de Rio », l'une des trois adoptées lors du « Sommet de la Terre de Rio » en 1992. Ses conventions soeurs sont la Convention sur la diversité biologique (CDB) et la Convention sur la lutte contre la désertification (CLD). Les trois sont intrinsèquement liés. C'est dans ce contexte que le Groupe Mixte de Liaison a été mis en place pour renforcer la coordination entre les trois Conventions de Rio, dans le but ultime de développer des synergies dans leurs activités sur les questions d'intérêt mutuel. Désormais, il intègre aussi la Convention de Ramsar sur les zones humides. Prévenir les activités humaines « dangereuses » pour le système climatique est l'objectif ultime de la CCNUCC. > La Convention :
♦ Site internet : https://unfccc.int ♦ Équivalent étranger : UN Climate Change Conference, UNFCCC. |
CDB | ♦ Acronyme pour : "Convention sur la Diversité Biologique". ♦ La CDB est un traité international juridiquement contraignant qui a trois principaux objectifs :
Son but général est d'encourager des mesures qui conduiront à un avenir durable. > La conservation de la diversité biologique est une préoccupation commune de l'humanité. La CDB vise tous les niveaux de la diversité biologique: les écosystèmes, les espèces et les ressources génétiques. Elle s'applique aussi aux biotechnologies, notamment dans le cadre du Protocole de Cartagena sur la prévention des risques biotechnologiques. En fait, elle vise tous les domaines possibles qui sont directement ou indirectement liés à la diversité biologique et à son rôle en matière de développement, allant de la science, la politique et l'enseignement à l'agriculture, au monde des affaires, à la culture et bien plus encore. > L'organe directeur de la CDB est la Conférence des Parties (COP). Cette instance supérieure est composée de tous les gouvernements qui ont ratifié le traité (les Parties) et se réunit tous les deux ans pour examiner les progrès accomplis, établir des priorités et décider de plans de travail. Le Secrétariat de la CDB est basé à Montréal, au Canada. Sa fonction principale est d'aider les gouvernements à mettre en œuvre la Convention et ses programmes de travail, d'organiser des réunions, de rédiger des documents et d'assurer une coordination avec d'autres organisations internationales, ainsi que de recueillir et diffuser des informations. Le Secrétaire exécutif est le chef du secrétariat. > La Convention a été ouverte à la signature le 5 juin 1992 lors de la Conférence des Nations Unies sur l'environnement et le développement, souvent appelé le « Sommet de la Terre » de Rio. Elle compte, à ce jour, 196 Parties.
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CEEAC | ♦ Acronyme pour : Communauté economique des Etats d'Afrique centrale. ♦ La Communauté économique des États de l’Afrique centrale (CEEAC) est une organisation internationale créée le pour le développement économique, social et culturel de l’Afrique en vue de la création des structures régionales pouvant progressivement aboutir à un Marché commun. Il s'agit d'une communauté économique régionale (CER). La CEEAC découle du Plan d’action de Lagos d’avril 1980. > Les pays membres sont : l'Angola, le Burundi, le Cameroun, la République centrafricaine, la République du Congo, la République démocratique du Congo, le Gabon, la Guinée équatoriale, le Rwanda,, le Tchad et Sao Tomé-et-Principe. > L’objectif fondamental poursuivi par la Communauté concerne la promotion et le renforcement d’une coopération harmonieuse et un développement dynamique, équilibré et autoentretenu dans tous les domaines de l’activité économique et sociale, en particulier dans les domaines de l'industrie, des transports et des communications, de l'énergie, de l'agriculture, des ressources naturelles, du commerce, des douanes, des questions monétaires et financières, des ressources humaines, du tourisme, de l'enseignement, de la culture, de la science et de la technologie et du mouvement des personnes en vue de réaliser l'autonomie collective, d'élever le niveau de vie des populations... La CEEAC conduit le processus d’intégration régionale de l’Afrique centrale et est reconnue par l’Union africaine. ♦ Site internet : https://ceeac-eccas.org/ ♦ Équivalent étranger : Economic Community of Central African States, ECCAS. |
CEFDHAC | ♦ Acronyme pour : "Conférence sur les Ecosystèmes de Forêts Denses Humides d'Afrique Centrale". . |
Ceinture verte | ♦ Ensemble d'espaces verts plus ou moins aménagés à vocation écologique et/ou récréative autour d'une agglomération. Né à Londres dans les années 1950, le green belt a également pour fonction théorique d'arrêter l'étalement urbain et de servir de zone tampon séparant les sources de pollution de la population citadine. Les services les plus précieux fournis par le green belt sont l'habitat, le contrôle des inondations, la régulation du climat, la pollinisation, le traitement des déchets et le contrôle des écoulements d'eau. |
Cellule sédimentaire | ♦ Portion du littoral ayant un fonctionnement sédimentaire relativement autonome par rapport aux portions voisines. Elle se compose d'une zone d'érosion, d'une zone d'accrétion et, entre les deux, d'un point d'inflexion. Une cellule sédimentaire contient toutes les sources, les voies de transport, les zones de stockage et les puits de sédiments habituellement trouvés sur une plage. |
Centre d’éducation aux zones humides | ♦ Endroit où il existe une interaction entre le public, la nature et des activités de communication, d'éducation, de sensibilisation et de participation (activités CESP) pour soutenir les finalités de conservation des zones humides. Généralement un tel site fournit également des aménagements pour les visiteurs. Ces centres sont reliés par un réseau animé par Wetland Link International. |
Centre d’endémisme | ♦ Région biogéographique dans laquelle existe un nombre important d'espèces endémiques dont l'aire de répartition géographique est réduite à cette zone. |
Centre d’interprétation | ♦ Endroit où l'on se consacre principalement à la sensibilisation de la population en appliquant la méthode particulière qu'est l'Interprétation. Ces centres sont généralement proches de zones naturelles et/ou d'aires protégées et permettent une première approche de celles-ci. |
Centre de diversité | ♦ Région biogéographique dans laquelle existe la richesse spécifique très élevée d'un groupe taxonomique donné. |