Écologie
Glossaires
Terme | Définition |
---|---|
ADN | ♦ Acronyme de : Acide DésoxyriboNucléique. |
Adoption | ♦ L'adoption par un pays d'un accord international se réfère au processus d'incorporation de cet accord dans le système législatif national, par la signature, la ratification ou tout autre processus requis par les lois de ce pays. Dans la plupart des pays, l'acte de ratification est entériné par l'Assemblée nationale, quand elle existe. |
Adventice | ♦ Se dit d'un organisme qui a été introduit accidentellement. On désigne souvent par adventices les espèces végétales qui se développent dans des habitats qui ne sont à l'origine pas les leurs, comme par exemple les cultures. |
Adventive | ♦ Racines supplémentaires qui naissent n'importe où sur la tige ou sur un rameau. |
AEP | ♦ Acronyme pour : "Approche Ecosystémique des Pêches". ♦ L’expression approche écosystémique de la pêche a été retenue pour traduire la fusion de deux modèles différents mais liés et souhaités convergents. Le premier est celui de la gestion de l’écosystème, qui tend vers l’objectif de conserver la structure, la diversité et le fonctionnement des écosystèmes par des mesures de gestion portant sur les composantes biophysiques des écosystèmes (par exemple la mise en place de zones protégées). Le second est celui de la gestion des pêches, qui tend vers l’objectif de satisfaire les besoins de nourriture et de bienfaits économiques de la société par des mesures de gestion portant sur l’activité de pêche et les ressources ciblées. L’approche écosystémique de la pêche est en fait la manière d’appliquer le développement durable à la pêche. Elle prend appui sur les pratiques actuelles de gestion des pêcheries et reconnaît plus explicitement l’interdépendance entre le bien-être humain et le bien-être écologique. Elle met l’accent sur la nécessité de maintenir en bon état ou d’améliorer les écosystèmes et la productivité afin que la production de la pêche soit maintenue ou accrue pour les générations actuelles et futures. > La Convention sur la Diversité Biologique (CDB) définit l’approche écosystémique comme suit : Le Conseil International pour l'Exploration de la Mer (CIEM) la définit comme suit : > Elle a donc pour objet de planifier, de valoriser et de gérer les pêches, en tenant compte de la multiplicité des aspirations et des besoins sociaux actuels et sans remettre en cause les avantages que les générations futures doivent pouvoir tirer de l’ensemble des biens et services issus des écosystèmes marins (Sommet de Reykjavik, 2002). Cette démarche intègre les dimensions biologiques, environnementales, économiques et sociales du « système pêche » et place les activités humaines au centre de l’écosystème. L’approche écosystémique fait appel à un certain nombre de notions de base souvent appelées «principes», qui ont été inscrites dans divers instruments ou conventions, et en particulier dans le Code de conduite pour une pêche responsable. Ces principes appuient généralement les objectifs d’orientation de haut niveau qui sont assignés à la gestion halieutique au niveau national ou régional. > Une approche écosystémique de la pêche s’efforce d’équilibrer divers objectifs de la société en tenant compte des connaissances et des incertitudes relatives aux composantes biotiques, abiotiques et humaines des écosystèmes et de leurs interactions, et en appliquant à la pêche une approche intégrée dans des limites écologiques valables. L’expression «approche écosystémique de la pêche» a été retenue dans les présentes directives pour traduire la fusion de deux modèles différents mais liés et dont on peut espérer qu’ils seront convergents. Le premier est celui de la gestion de l’écosystème, qui tend vers l’objectif de préserver la structure, la diversité et le fonctionnement des écosystèmes par des mesures de gestion portant sur les composantes biophysiques des écosystèmes (par exemple la mise en place de zones protégées). Le second est celui de la gestion des pêches, qui tend vers l’objectif de satisfaire les besoins de nourriture et de bienfaits économiques de la société et de l’homme par des mesures de gestion portant sur l’activité de pêche et les ressources ciblées. > L’approche écosystémique de la pêche est en fait la manière d’appliquer le développement durable à la pêche. Elle prend appui sur les pratiques actuelles de gestion des pêcheries et reconnaît plus explicitement l’interdépendance entre le bien-être humain et le bien-être écologique. Elle met l’accent sur la nécessité de maintenir en bon état ou d’améliorer les écosystèmes et la productivité afin que la production de la pêche soit maintenue ou accrue pour les générations actuelles et futures. Il est particulièrement intéressant de constater, dans les présentes directives, qu’en contribuant à faire converger les deux modèles, l’approche écosystémique contribuera à la mise en œuvre de bon nombre des dispositions prévues par le Code de conduite de la FAO pour une pêche responsable. > La gestion écosystémique devrait respecter les principes suivants :
♦ Équivalent étranger : Ecosystem Approach to Fisheries Management (EAFM). |
Aérobie | ♦ Se dit de tout être vivant ou phénomène, processus ou métabolisme dont l'existence exige la présence d'oxygène. Chez les micro-organismes aérobies, la respiration fournit l'énergie nécessaire à la vie par des réactions biochimiques. |
Aérobiose | ♦ Relatif à des processus écologiques qui nécessitent de l'oxygène. |
Aérochore | ♦ Voir anémochore. |
Aérogamie | ♦ Mode de pollinisation des végétaux assurée par le vent. |
Aérohalin | ♦ Définit un végétal ou une végétation soumis aux embruns marins. |
Aérohalophyte | |
Aérohygrophyle | ♦ Désigne une espèce se développant dans des zones de forte hygrométrie atmosphérique. |
Aéromésohygrophile | ♦ Définit une espèce ou un peuplement végétal se développant dans des conditions d’humidité atmosphérique limitées. |
Aérophile | ♦ Désigne une espèce végétale se développant dans des zones fortement soumises au vent. |
Aérophyte | ♦ Épiphyte ne disposant d'eau que par les précipitations. |